Vacarme 20 / chroniques

les « ci-gît »

par

murs m’entourant de voisins
destin moyen me tirant en arrière
et réussir
m’eût aveuglément couronné
y mettrais-tu pollux ce bouliste
et l’amitié plus arrondie
pour regagner la coupe
de nos cœurs il était
à tout jamais moderne économique
pliable à toutes les jointures
si lent le paysage n’est pas si mal et me convient
rien de pesant que l’air
de tous les jours et le goût du conservateur
vertes ici les pelouses que l’hiver il oublie
et cueille et demain avec son père
il dort et qu’il couvre d’un drap
tu souris renseigné
par tes parents remisés en lieu sûr
tu parles une fois
de l’élucidation de leurs sources
et presque de douceur
je vous dis les habitants du département
de mon cœur les secousses
les états la région n’ont pas créé les secours
jouis du repos il le faut dans cinq heures
de là-bas ils viendront les vivants
font partie dans notre arrrangement
d’un système mis au point par notre imagination
tant de choses obligeantes avenue des pyramidaux
des prix
pour cette chaise-longue offerte avec son box
nous dormons domestiques dans une petite maison posée d’avance
et tous les animaux et leurs droits à la vie
la qualité pour tous et les fourmis
herbes sauvages les retours des saisons
je suis d’autant plus heureux je les ai
l’autoroute traverse ici
oiseau tu voles mais d’une allure terrible
et portes un acte d’opéra
au développement industriel
humains vieux fatigués d’une soirée avec des invités tu es
ma petite louloute chérie
toutes tes dents nuit et jour de vieil or
voyageant avec toi le meilleur
à portée de laurier
arbres d’alignement sa perception du mois du sport
lui révèle ce qu’il est
et ne voudrait pas être