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Ébruitons Vacarme

Nos préoccupations sont politiques et poétiques, mais elles sont aussi matérielles. Les subventions représentaient encore une part critique de notre financement, et le gré des changements politiques nous a fait perdre aujourd’hui celle de la région Ile-de-France. Les abonnements sont maintenant notre principale ressource. Sans eux, la revue ne peut perdurer.

On ballade donc Vacarme et on déambule gracieusement par chroniques révolutionnaires et grecques, on se perd dans les fonds de jardin farfouillant les imaginaires des luttes politiques, littéraires ou cinématographiques, le long des contre-allées du pouvoir dans un labyrinthe mouvant de différences.

Dépassant l’impuissance, on a essayé de rentrer hors des clous (Vacarme 73), avec courage (Vacarme 75). On est allé écouter les voix dissonantes du côté du Caire pour faire un bilan de cinq ans de révolution (Vacarme 74). Et on va continuer à les écouter ces voix qui discordent, où elles se trouvent, où on les trouvera, sans doute parce qu’elles nous donnent de la joie (Vacarme 76).

« Pour ébruiter Vacarme », nous avons besoin de mouvements mais aussi de voix et d’auditeurs : 150 nouveaux abonnements permettraient à la revue de continuer à dessiner des lignes de fuite, de celles qui permettent d’échapper pour mieux combattre.

Post-scriptum

Abonnez-vous à Vacarme et recevez gratuitement avec votre abonnement un ancien numéro. Qu’il circule parmi vos amis pour leur faire découvrir ces chemins de traverse !