Féminisme

L’IVG, quarante ans après

par Laurence Duchêne, Marie Fontana, Aude Lalande, Adèle Ponticelli, Anaïs VaugeladeLise Wajeman

« Mon corps m’appartient ». Ça veut dire ce n’est pas à toi. Et c’est moi qui décide. Qui rentre, qui sort, qui touche, qui se développe ou pas. Si je veux interrompre une grossesse, mon choix prévaut (le prévôt pas). En France, le slogan était subversif il y a quarante ans. C’était l’individu contre l’autorité. Le père, l’époux, le maire, le juge, le flic, le médecin, le prêtre, le pape… en somme le patriarcat. C’était avant qu’on ait « gagné ».

Trois portraits

par Brigitte Tijou

Sabah, ou l’éloge de la négociation La position de Sabah se fonde toujours sur l’accommodement (...)